Eugène-Emmanuel
Viollet-le-Duc est un fameux architecte du 19ème, né le 27 janvier
1814 à Paris. Il termine sa vie à Lausanne en 1879.
Il a, à son
actif, la restauration de grands monuments médiévaux tels que le
Mont St-Michel, la cathédrale Notre-Dame de Paris, la cité de
Carcassonne, pour ne citer que les plus emblématiques.
En 1874, il
entreprend son dernier chantier, à la cathédrale de Lausanne. Il y
remplace notamment la flèche de la tour lanterne. En clin d’œil,
il est d’ailleurs représenté sur le portail de Montfaucon par la
deuxième statue depuis la droite.
Souvent décrié
par certains pour ses restaurations jugées arbitraires, et parfois
quelque peu fantaisistes, il a été encensé par d’autres pour son
génie et sa créativité.
On le dit aussi
parfois franc-maçon ou initié par d'autres confréries.
La question que
je me pose est donc la suivante : Viollet-le-Duc a-t-il fait
perdurer dans son œuvre des connaissances transmises par des Maîtres
initiés, tel qu’il en parle dans son livre « histoire d’une
maison » ?
J’entreprends
de vérifier cette hypothèse, remplie d’espoirs de découvertes et
d’enseignements nouveaux.
A Lausanne,
outre la rénovation de la cathédrale, il a été mandaté par
l'église écossaise pour la construction d'une chapelle dans le
style gothique. Elle se trouve encore aujourd’hui sur l'avenue de
Rumine. Elle fut construite en 1876.
Ce lieu est idéal pour mes recherches.
En
effet, la géobiologie va me permettre d'analyser les paramètres
telluriques et énergétiques de cette construction et vérifier si
Viollet-le-Duc y a respecté et mis en place les agencements observés
sur de nombreux site sacrés anciens.
Depuis les
civilisations anciennes du néolithique et jusqu’au temps des
cathédrales au XIIème siècle, les humains ont systématiquement
définis leurs lieux de cultes selon un agencement et des conditions
précises.
Certaines
variables sont propres à des cultures et des civilisations et
d’autres se retrouvent à travers les lieux et les âges.
Au moyen-âge,
les constructions sacrées sont édifiées comme des outils
énergétiques qui permettent de relier l’humain aux forces
telluriques et cosmiques, grâce à des phénomènes énergétiques
reconnaissables.
Je vais donc
vérifier leur présence.
En premier lieu
il devrait y avoir des veines d'eaux souterraines orientées.
comment ?
Celles-ci
devrait passer sous l’autel.
Sur le terrain, à l’aide du pendule, des baguettes en cuivre et
des baguettes de sourcier en coudrier… je ne détecte ni veine
d’eau, ni même de mémoire d’eau.
Je poursuis mes
analyses. Je m’attends en suite à un agencement de résilles.
Celles-ci sont une émanation d’énergie provenant du centre de la
terre. Elles sont présentes à la surface comme un filet dont les
mailles sont plus ou moins grandes. On parle souvent des résilles de
fer du Dr Curry ou celles du nickel du Dr Hartmann. Il en existe une
quarantaine environ.
Dans les lieux
remarquables du moyen-âge, leur agencement est finement organisé.
Des croisements, à des points clés de l’édifice, lui confère
une qualité élevée et lui donne son caractère propre.
Mais dans
l’église écossaise de Lausanne, je ne trouve rien de particulier.
Les résilles sont agencées de la même façon que dans n’importe
quelle habitation moderne.
Par acquis de
conscience, je terminer mon investigation en mesurant, à l’aide de
mon pendule, le taux vibratoire dans cet édifice. Le taux
vibratoire, mesure la qualité énergétique d’un lieu ou de toute
matière. Dans une construction d’initié, le taux vibratoire est
élevé. Et une fois encore, je ne mesure ici rien d’exceptionnel.
Il peut arriver
que des travaux importants détruisent le travail énergétique mis
en place initialement. Mais
l’église en question n’en a pas subit de conséquente depuis sa
construction.
La réponse est
donc tranchée. Notre cher Eugène ne nous a pas fait profiter ici
d’un travail d’initié. Il serait bon de vérifier sur d’autres
de ses constructions si ce constat se retrouve, avant d’en conclure
que le célèbre architecte ne possédait aucune connaissance du
monde subtile.
Un peu déçue
mais malgré tout contente de comprendre, je remballe, assez
rapidement, pendule et baguettes.
Marie-Claude